L’écrin est le petit coffret dans lequel la bague de fiançailles est mise pour faire une demande en mariage. Il n’existe pas de règle précise pour choisir votre écrin. Vous pouvez en demander avec votre bague de fiançailles ou vos alliances, mais vous pouvez également en créer vous-même afin qu’il soit en rapport avec votre demande.
Nous avons sélectionné pour vous plusieurs écrins originaux, que nous allons détaillés ci-après.
Tout d’abord nous allons vous présenter des écrins ayant un rapport avec des jeux ou des films/séries connus : Une demande en mariage grâce au célèbre jeu « Mario ». « Veux-tu être mon deuxième joueur ? »
Le joueur un « player one » est « ready », il est donc prêt à s’engager et réaliser cette demande. Le deuxième joueur doit lancer la partie s’il est d’accord. La bague de fiançailles est considérée ici comme le bouton START pour lancer le jeu.
Qui n’a pas prêté attention au lancement du jeu Pokémon en France ? Ce jeu a sans doute partagé votre vie à un moment ou un autre. Que ce soit au travers de vos frères et sœurs, de vous-même ou encore au travers de vos enfants, ce jeu est bien connu.
Le futur marié a imaginé une demande en mariage sur ce thème.
Lors de la capture d’un Pokémon il peut choisir de ne pas se laisser capturer, on dit que s’il accepte il choisit le dresseur.
Une demande Monopoly : la bague de fiançailles a été caché sous la case « Luxury tax ». La future mariée est tombée sur la case « chance » et devait tirer une carte qui correspond à cette case. Le futur marié a noté sur ces cartes « Will you MARRY ME ? », avec « si c’est oui, avance jusqu’à la case taxe de luxe ». Dans cette case il a créé un trou pour y glisser la bague de fiançailles.
Mariage Harry Potter : pour les fans d’Harry Potter plusieurs choix sont possibles. La première photo a été réalisé dans le « Choix-peau » qui est présent dans plusieurs films d’Harry Potter, il permet pour les sorciers de premier cycle d’être redirigé dans les différentes maisons. Le futur marié laisse le choix à la future mariée, par ce biais, de dire oui ou non de faire partie de sa maison.